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SAVAGE EXO SSD (SHSX100)

SAVAGE EXO SSD - Assistance technique

Questions fréquentes

Ce phénomène est courant pour le stockage Flash, qu’il s’agisse d’un SSD interne ou d’un stockage USB externe, et s'explique en partie par une différence dans la manière dont les fabricants de disques durs à mémoire flash ou à plateau tournant calculent le mégaoctet. Les fabricants de disques durs calculent un mégaoctet (ou 1 000 x 1 000 octets) comme étant 1 000 Ko, alors que le calcul binaire pour le stockage Flash est de 1 024 Ko.

Example : Pour un appareil de stockage à mémoire Flash de 1 To, Windows calculera qu’il a une capacité de 931,32 Go. (1 000 000 000 000÷1 024÷1 024÷1 024=931,32 Go).

En outre, Kingston réserve une partie de la capacité indiquée pour le formatage et d’autres fonctions telles que le firmware et/ou les informations spécifiques au contrôleur, ce qui fait qu’une partie de la capacité indiquée n’est pas disponible pour le stockage de données.

FAQ: KDT-010611-GEN-06

Cela a-t-il été utile ?

La façon la plus simple de s’assurer que votre nouveau SSD apparaisse en tant que disque de démarrage est de s’assurer qu’il s’agit du seul appareil de stockage connecté lors de l’installation.
Si ce n’est pas possible, ou si vous avez précédemment cloné vos anciennes données sur votre nouveau SSD, assurez-vous que le nouveau SSD apparaît en tant que disque de démarrage dans le BIOS du système, puis sélectionnez-le pour le démarrage.

FAQ: KSD-012010-001-03

Cela a-t-il été utile ?

Il existe une grande variété de boîtiers externes sur le marché. Bien que Kingston s’efforce d’être compatible avec tous les types de systèmes, il peut arriver qu’il y ait une incompatibilité. Si vous continuez à rencontrer des problèmes avec votre boîtier de SSD externe, vous pouvez essayer un autre boîtier.

FAQ: KSD-012010-001-18

Cela a-t-il été utile ?

Tout d’abord, vous devez confirmer que le SSD est visible dans le BIOS du système. Entrez dans votre BIOS (généralement via la touche Suppr, F2, F10 ou F12) et parcourez le ou les menus de configuration du stockage pour voir si le SSD est présent et correctement identifié. Si le SSD n’est pas présent, mettez le système hors tension et vérifiez l’installation et les connexions pour vous assurer qu’il est correctement installé et/ou connecté.

Si le SSD est présent dans le BIOS, vous devrez peut-être initialiser le disque dans le système d’exploitation.

Pour Windows:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Windows.
Étape 2 : Appuyez sur les touches Windows + X et choisissez Gestion des disques.
Étape 3 : Si le SSD est neuf et n’a pas été initialisé, une fenêtre contextuelle s’affiche et indique « Initialiser le disque ».
Étape 4 : Choisissez entre :
MBR (Master Boot Record) : Convient aux disques de moins de 2 To et aux systèmes plus anciens.
GPT (GUID Partition Table) : Recommandé pour les systèmes modernes et les disques de plus de 2 To.
Étape 5 : Cliquez sur OK pour initialiser le SSD.
Étape 6 : Une fois initialisé, vous verrez le SSD comme « Non alloué ». Cliquez dessus avec le bouton droit de la souris et sélectionnez Nouveau volume simple.
Étape 7 : Suivez les instructions à l’écran pour formater le SSD et lui attribuer une lettre.

Pour Mac:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Mac.
Étape 2 : Ouvrez l’Utilitaire de disque (vous pouvez le trouver en utilisant Spotlight avec Cmd + Espace et en tapant « Utilitaire de disque »).
Étape 3 : Dans le volet de gauche, sélectionnez votre SSD.
Étape 4 : Cliquez sur Effacer.
Étape 5 : Donnez un nom au SSD et, sous Format, choisissez :
APFS pour les Mac les plus récents et les SSD.
Mac OS Extended (Journaled) pour les systèmes plus anciens ou les disques durs.
Étape 6 : Cliquez sur Effacer. Une fois le processus terminé, le SSD sera prêt à être utilisé.

Pour Linux:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Linux.
Étape 2 : Ouvrez un terminal.
Étape 3 : Saisissez sudo fdisk -l pour répertorier tous les disques connectés. Identifiez votre SSD par sa taille et notez le nom de l’appareil, par exemple, /dev/sdb.
Étape 4 : Initialisez le SSD à l’aide de fdisk ou de parted. Voici un guide de base sur l’utilisation de fdisk :
Saisissez sudo fdisk /dev/sdb (remplacez /dev/sdb par le nom de votre SSD).
Appuyez sur g pour créer une nouvelle table de partition GPT.
Appuyez sur n pour créer une nouvelle partition. Suivez les invites pour spécifier la taille et le type.
Appuyez sur w pour enregistrer les modifications.
Étape 5 : Formatez la nouvelle partition sur le SSD (par exemple, /dev/sdb1). Vous pouvez la formater avec le système de fichiers de votre choix :
Pour ext4 : sudo mkfs.ext4 /dev/sdb1
Pour ext3 : sudo mkfs.ext3 /dev/sdb1
Pour FAT32 : sudo mkfs.vfat /dev/sdb1
Étape 6 : Montez le SSD :
Créez un point de montage : sudo mkdir /mnt/myssd
Montez le SSD : sudo mount /dev/sdb1 /mnt/myssd
N’oubliez pas de remplacer /dev/sdb1 par le nom de la partition de votre SSD.

FAQ: KSD-012010-001-15

Cela a-t-il été utile ?

Le firmware d’un SSD est le logiciel intégré dans un SSD qui gère ses opérations, notamment la communication avec le système hôte, le stockage et la récupération des données, la répartition de l’usure et la correction des erreurs. Kingston vous recommande de toujours avoir le firmware le plus récent.

Si votre SSD nécessite un nouveau firmware, vous recevrez une notification lors de l’exécution du logiciel SSD Manager de Kingston, situé ici : www.kingston.com/ssdmanager

FAQ: KSD-012010-001-11

Cela a-t-il été utile ?

Cliquez ici pour en savoir plus sur les différences entre ces deux types de SSD.
https://www.kingston.com/blog/pc-performance/nvme-vs-sata

FAQ: KSD-012010-001-19

Cela a-t-il été utile ?

Lors du clonage sur un nouveau SSD plus grand que le disque source, il se peut que le logiciel ne mette pas correctement à l’échelle la taille des partitions. Dans ce cas, vous risquez de vous retrouver avec de l’espace inutilisé. Pour éviter cela, suivez nos instructions de clonage ici : www.kingston.com/cloning

FAQ: KSD-012010-001-04

Cela a-t-il été utile ?

Le firmware d’un SSD est le logiciel intégré dans un SSD qui gère ses opérations, notamment la communication avec le système hôte, le stockage et la récupération des données, la répartition de l’usure et la correction des erreurs. Kingston vous recommande de toujours avoir le firmware le plus récent.

Si votre SSD nécessite un nouveau firmware, vous recevrez une notification lors de l’exécution du logiciel SSD Manager de Kingston, situé ici : www.kingston.com/ssdmanager

FAQ: KSD-012010-001-11

Cela a-t-il été utile ?

Kingston ne propose actuellement pas de mise à jour de firmware sous DOS.

FAQ: KSD-012010-001-12

Cela a-t-il été utile ?

Sauf indication explicite, non, une mise à jour du SSD n’efface pas les données qui y sont stockées. Cependant, avant d’effectuer toute mise à jour du firmware d’un SSD, Kingston recommande de sauvegarder toutes les données qu’il contient.

FAQ: KSD-012010-001-13

Cela a-t-il été utile ?

Bien qu’il soit possible de mettre à jour le firmware de votre SSD via un boîtier de stockage USB, Kingston ne le recommande pas. La procédure de mise à jour appropriée implique que votre SSD cible soit connecté directement aux ports du système (par exemple, SATA ou NVMe).

FAQ: KSD-012010-001-14

Cela a-t-il été utile ?

Lors du clonage sur un nouveau SSD plus grand que le disque source, il se peut que le logiciel ne mette pas correctement à l’échelle la taille des partitions. Dans ce cas, vous risquez de vous retrouver avec de l’espace inutilisé. Pour éviter cela, suivez nos instructions de clonage ici : www.kingston.com/cloning

FAQ: KSD-012010-001-04

Cela a-t-il été utile ?

Tout d’abord, vous devez confirmer que le SSD est visible dans le BIOS du système. Entrez dans votre BIOS (généralement via la touche Suppr, F2, F10 ou F12) et parcourez le ou les menus de configuration du stockage pour voir si le SSD est présent et correctement identifié. Si le SSD n’est pas présent, mettez le système hors tension et vérifiez l’installation et les connexions pour vous assurer qu’il est correctement installé et/ou connecté.

Si le SSD est présent dans le BIOS, vous devrez peut-être initialiser le disque dans le système d’exploitation.

Pour Windows:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Windows.
Étape 2 : Appuyez sur les touches Windows + X et choisissez Gestion des disques.
Étape 3 : Si le SSD est neuf et n’a pas été initialisé, une fenêtre contextuelle s’affiche et indique « Initialiser le disque ».
Étape 4 : Choisissez entre :
MBR (Master Boot Record) : Convient aux disques de moins de 2 To et aux systèmes plus anciens.
GPT (GUID Partition Table) : Recommandé pour les systèmes modernes et les disques de plus de 2 To.
Étape 5 : Cliquez sur OK pour initialiser le SSD.
Étape 6 : Une fois initialisé, vous verrez le SSD comme « Non alloué ». Cliquez dessus avec le bouton droit de la souris et sélectionnez Nouveau volume simple.
Étape 7 : Suivez les instructions à l’écran pour formater le SSD et lui attribuer une lettre.

Pour Mac:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Mac.
Étape 2 : Ouvrez l’Utilitaire de disque (vous pouvez le trouver en utilisant Spotlight avec Cmd + Espace et en tapant « Utilitaire de disque »).
Étape 3 : Dans le volet de gauche, sélectionnez votre SSD.
Étape 4 : Cliquez sur Effacer.
Étape 5 : Donnez un nom au SSD et, sous Format, choisissez :
APFS pour les Mac les plus récents et les SSD.
Mac OS Extended (Journaled) pour les systèmes plus anciens ou les disques durs.
Étape 6 : Cliquez sur Effacer. Une fois le processus terminé, le SSD sera prêt à être utilisé.

Pour Linux:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Linux.
Étape 2 : Ouvrez un terminal.
Étape 3 : Saisissez sudo fdisk -l pour répertorier tous les disques connectés. Identifiez votre SSD par sa taille et notez le nom de l’appareil, par exemple, /dev/sdb.
Étape 4 : Initialisez le SSD à l’aide de fdisk ou de parted. Voici un guide de base sur l’utilisation de fdisk :
Saisissez sudo fdisk /dev/sdb (remplacez /dev/sdb par le nom de votre SSD).
Appuyez sur g pour créer une nouvelle table de partition GPT.
Appuyez sur n pour créer une nouvelle partition. Suivez les invites pour spécifier la taille et le type.
Appuyez sur w pour enregistrer les modifications.
Étape 5 : Formatez la nouvelle partition sur le SSD (par exemple, /dev/sdb1). Vous pouvez la formater avec le système de fichiers de votre choix :
Pour ext4 : sudo mkfs.ext4 /dev/sdb1
Pour ext3 : sudo mkfs.ext3 /dev/sdb1
Pour FAT32 : sudo mkfs.vfat /dev/sdb1
Étape 6 : Montez le SSD :
Créez un point de montage : sudo mkdir /mnt/myssd
Montez le SSD : sudo mount /dev/sdb1 /mnt/myssd
N’oubliez pas de remplacer /dev/sdb1 par le nom de la partition de votre SSD.

FAQ: KSD-012010-001-15

Cela a-t-il été utile ?

Il existe une grande variété de boîtiers externes sur le marché. Bien que Kingston s’efforce d’être compatible avec tous les types de systèmes, il peut arriver qu’il y ait une incompatibilité. Si vous continuez à rencontrer des problèmes avec votre boîtier de SSD externe, vous pouvez essayer un autre boîtier.

FAQ: KSD-012010-001-18

Cela a-t-il été utile ?

Lors du clonage sur un nouveau SSD plus grand que le disque source, il se peut que le logiciel ne mette pas correctement à l’échelle la taille des partitions. Dans ce cas, vous risquez de vous retrouver avec de l’espace inutilisé. Pour éviter cela, suivez nos instructions de clonage ici : www.kingston.com/cloning

FAQ: KSD-012010-001-04

Cela a-t-il été utile ?

La façon la plus simple de s’assurer que votre nouveau SSD apparaisse en tant que disque de démarrage est de s’assurer qu’il s’agit du seul appareil de stockage connecté lors de l’installation.
Si ce n’est pas possible, ou si vous avez précédemment cloné vos anciennes données sur votre nouveau SSD, assurez-vous que le nouveau SSD apparaît en tant que disque de démarrage dans le BIOS du système, puis sélectionnez-le pour le démarrage.

FAQ: KSD-012010-001-03

Cela a-t-il été utile ?

Bien qu’il soit possible de mettre à jour le firmware de votre SSD via un boîtier de stockage USB, Kingston ne le recommande pas. La procédure de mise à jour appropriée implique que votre SSD cible soit connecté directement aux ports du système (par exemple, SATA ou NVMe).

FAQ: KSD-012010-001-14

Cela a-t-il été utile ?

Sauf indication explicite, non, une mise à jour du SSD n’efface pas les données qui y sont stockées. Cependant, avant d’effectuer toute mise à jour du firmware d’un SSD, Kingston recommande de sauvegarder toutes les données qu’il contient.

FAQ: KSD-012010-001-13

Cela a-t-il été utile ?

Kingston ne propose actuellement pas de mise à jour de firmware sous DOS.

FAQ: KSD-012010-001-12

Cela a-t-il été utile ?

Le firmware d’un SSD est le logiciel intégré dans un SSD qui gère ses opérations, notamment la communication avec le système hôte, le stockage et la récupération des données, la répartition de l’usure et la correction des erreurs. Kingston vous recommande de toujours avoir le firmware le plus récent.

Si votre SSD nécessite un nouveau firmware, vous recevrez une notification lors de l’exécution du logiciel SSD Manager de Kingston, situé ici : www.kingston.com/ssdmanager

FAQ: KSD-012010-001-11

Cela a-t-il été utile ?

Il existe une grande variété de boîtiers externes sur le marché. Bien que Kingston s’efforce d’être compatible avec tous les types de systèmes, il peut arriver qu’il y ait une incompatibilité. Si vous continuez à rencontrer des problèmes avec votre boîtier de SSD externe, vous pouvez essayer un autre boîtier.

FAQ: KSD-012010-001-18

Cela a-t-il été utile ?

Tout d’abord, vous devez confirmer que le SSD est visible dans le BIOS du système. Entrez dans votre BIOS (généralement via la touche Suppr, F2, F10 ou F12) et parcourez le ou les menus de configuration du stockage pour voir si le SSD est présent et correctement identifié. Si le SSD n’est pas présent, mettez le système hors tension et vérifiez l’installation et les connexions pour vous assurer qu’il est correctement installé et/ou connecté.

Si le SSD est présent dans le BIOS, vous devrez peut-être initialiser le disque dans le système d’exploitation.

Pour Windows:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Windows.
Étape 2 : Appuyez sur les touches Windows + X et choisissez Gestion des disques.
Étape 3 : Si le SSD est neuf et n’a pas été initialisé, une fenêtre contextuelle s’affiche et indique « Initialiser le disque ».
Étape 4 : Choisissez entre :
MBR (Master Boot Record) : Convient aux disques de moins de 2 To et aux systèmes plus anciens.
GPT (GUID Partition Table) : Recommandé pour les systèmes modernes et les disques de plus de 2 To.
Étape 5 : Cliquez sur OK pour initialiser le SSD.
Étape 6 : Une fois initialisé, vous verrez le SSD comme « Non alloué ». Cliquez dessus avec le bouton droit de la souris et sélectionnez Nouveau volume simple.
Étape 7 : Suivez les instructions à l’écran pour formater le SSD et lui attribuer une lettre.

Pour Mac:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Mac.
Étape 2 : Ouvrez l’Utilitaire de disque (vous pouvez le trouver en utilisant Spotlight avec Cmd + Espace et en tapant « Utilitaire de disque »).
Étape 3 : Dans le volet de gauche, sélectionnez votre SSD.
Étape 4 : Cliquez sur Effacer.
Étape 5 : Donnez un nom au SSD et, sous Format, choisissez :
APFS pour les Mac les plus récents et les SSD.
Mac OS Extended (Journaled) pour les systèmes plus anciens ou les disques durs.
Étape 6 : Cliquez sur Effacer. Une fois le processus terminé, le SSD sera prêt à être utilisé.

Pour Linux:
Étape 1 : Assurez-vous que le SSD est correctement branché et mettez le système sous tension, puis démarrez le système d’exploitation Linux.
Étape 2 : Ouvrez un terminal.
Étape 3 : Saisissez sudo fdisk -l pour répertorier tous les disques connectés. Identifiez votre SSD par sa taille et notez le nom de l’appareil, par exemple, /dev/sdb.
Étape 4 : Initialisez le SSD à l’aide de fdisk ou de parted. Voici un guide de base sur l’utilisation de fdisk :
Saisissez sudo fdisk /dev/sdb (remplacez /dev/sdb par le nom de votre SSD).
Appuyez sur g pour créer une nouvelle table de partition GPT.
Appuyez sur n pour créer une nouvelle partition. Suivez les invites pour spécifier la taille et le type.
Appuyez sur w pour enregistrer les modifications.
Étape 5 : Formatez la nouvelle partition sur le SSD (par exemple, /dev/sdb1). Vous pouvez la formater avec le système de fichiers de votre choix :
Pour ext4 : sudo mkfs.ext4 /dev/sdb1
Pour ext3 : sudo mkfs.ext3 /dev/sdb1
Pour FAT32 : sudo mkfs.vfat /dev/sdb1
Étape 6 : Montez le SSD :
Créez un point de montage : sudo mkdir /mnt/myssd
Montez le SSD : sudo mount /dev/sdb1 /mnt/myssd
N’oubliez pas de remplacer /dev/sdb1 par le nom de la partition de votre SSD.

FAQ: KSD-012010-001-15

Cela a-t-il été utile ?

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